mardi 6 février 2024

Bulletin de février 2024

Plerguer, le 5 février 2024,
 
Madame, Monsieur,

Alors que nous entrons dans l’année du Dragon de Bois, qui pourrait être celle de l’ébauche d’un tournant collectif majeur, nous vous souhaitons de bien vous ancrer de manière à pouvoir faire face avec foi, courage, créativité et générosité aux situations qui vont se présenter à nous.

L’ancrage peut être soutenu par des applications d’Onguent au niveau du chakra Racine, si­tué sur le plan­cher pel­vien, en­tre l'anus et le sexe.

C'est la Por­te de l'in­car­na­tion, la fon­da­tion phy­si­que, phy­si­o­lo­gi­que et psy­chi­que, qui conditionne la­ com­ba­ti­vi­té, la vé­ri­ta­ble créa­ti­vi­té, le plai­sir et la ri­ches­se.

Sur le plan de la cons­cien­ce, le cha­kra Ra­ci­ne est as­so­cié à la re­la­tion au mon­de ma­té­riel, au plai­sir, au sen­ti­ment de confian­ce, de Sé­cu­ri­té.

L’énergie Bois, lorsque l’arbre est bien enraciné, est une énergie printanière qui nous pousse à l’expression, l’affirmation de ce que nous sommes profondément. Elle nous aide à dépasser nos peurs, à oser être !

C’est, pour reprendre les termes d’Elizabeth Bellhouse, une énergie homœobiotique qui favorise un état de créativité dans lequel l’Être Potentiel devient Être effectif : devient l’incarnation de l’Accomplissement (et de la Joie) dans lequel tout Potentiel se trouve, tôt ou tard, réalisé.

Le Yi-King nous explique que “La consé­quen­ce de l'ac­ti­vi­té créa­tri­ce s'ex­pri­me dans la dis­tri­bu­tion de l'eau qui fait ger­mer et pous­ser tou­te vie. En hi­ver la For­ce mo­tri­ce se re­ti­re dans la ter­re. El­le en­tre en ac­tion au prin­temps et ap­pa­raît dans le ciel sous for­me d'éclair et de ton­ner­re. Les nua­ges pas­sent, une dou­ce pluie tom­be qui fait des­cen­dre dans la ter­re les ver­tus cé­les­tes, et tous les êtres in­di­vi­duels af­fluent dans leur for­me.”

C’est avec cette énergie céleste que les produits Vita Fons II nous mettent en contact.

Nous profitons de ce courrier pour vous communiquer le témoignage du Dr Eben Alexander qui nous éclaire sur la véritable nature de cette énergie numineuse : celle du Verbe créateur.

Un Son vivant, une brillante mélodie tournoyante et filante, dont l’action est semblable à une pluie fine que l’on peut sentir sur sa peau, mais qui ne mouille pas.

Nous vous souhaitons à toutes et à tous
de vous ouvrir à ce Son non frappé.

Géraldine et Pierre

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Le témoignage du Dr Eben Alexander

Nous avons lu récemment La Preuve du Paradis du Dr Eben Alexander (Guy Trédaniel 2013).

À la suite d'une méningite bactérienne (E. coli - Gram négative) le Dr Alexander fut plongé dans le coma, en état de mort cérébrale. Au bout de sept jours, alors que ses médecins envisageaient de le « débrancher », ses yeux se sont ouverts. Il était revenu à la vie.

Alors que son corps était plongé dans un coma profond, Eben Alexander a voyagé au-delà de ce monde, au sein des niveaux les plus profonds de l'existence supra-physique, et ce qu'il en rapporte est essentiel.

Il fit d'abord l'expérience des tout premiers stades de la vie, au cœur d'une obscurité pulsante, froide et humide.

Alors qu'au cœur de cette obscurité il sentait une odeur de décomposition le mettant en panique, une présence tournoyante, irradiant de fins filaments d'une lumière blanche et dorée a émergé au-dessus de lui.

Peu à peu l'obscurité autour de lui a commencé à se fendre et se disperser. Il a alors entendu un Son vivant, une brillante Mélodie Tournoyante et Filante, comme la pièce de musique la plus riche, la plus complexe, la plus belle qu'on ait jamais entendue. Gagnant en intensité alors que la pure lumière blanche descendait, ce Son s'est surimposé au battement mécanique et monotone qui, depuis des éons semblait-il, avait été son unique compagnie.

Un monde entièrement nouveau

La lumière s'est approchée encore et encore, tournoyant sur elle-même et générant ces filaments de pure lumière blanche, dont il voyait à présent qu'ils étaient teintés, ici et là, de pointes d'or. Puis, au centre même de cette lumière, une autre chose est apparue : une ouverture !

En un flash il est passé par cette ouverture et s'est retrouvé dans un monde entièrement nouveau. Le monde le plus étrange et le plus beau qu'il ait jamais vu, brillant, vibrant, extatique, stupéfiant… un paysage vert, luxuriant, incroyable et merveilleux.

Il volait, passait au-dessus des arbres et des champs, des ruisseaux et des chutes d'eau, et ici et là, des groupes de personnes. Il y avait aussi des enfants qui riaient et jouaient. Ces gens chantaient et dansaient en cercles, et parfois il voyait un chien qui courait et sautait parmi eux, tout aussi joyeux. Ils portaient des vêtements simples mais magnifiques, et il lui semblait que les couleurs de ces vêtements contenaient le même type de chaleur vivante que les arbres et les fleurs qui prospéraient et s'épanouissaient dans la campagne autour d'eux.

Là il fit l'expérience de l'influence des états émotionnels sur le climat. Chaque fois que son humeur changeait, le climat changeait. Ses larmes déclenchaient une averse torrentielle et sa joie faisait instantanément disparaître les nuages.

Puis il a réalisé qu'il n'était pas seul là-haut.

Quelqu'un était à côté de lui : une belle jeune femme avec des pommettes hautes et les yeux d'un bleu profond qui lui a délivré un message en trois parties :

    - « Tu es aimé et chéri, totalement, pour toujours.
         Il n'y a rien dont tu doives avoir peur. Il n'y a rien que tu puisses faire mal. »

    - « Nous te montrerons beaucoup de choses, ici »

    - « Mais finalement, tu retourneras. »

Plus tard, un son, énorme et retentissant comme un chant glorieux est descendu vers lui…

Le son était palpable et presque matériel, comme une pluie fine que l'on peut sentir sur sa peau, mais qui ne mouille pas.

Puis un vent chaud s'est mis à souffler, comme celui qui se lève les plus beaux jours d'été, agitant les feuilles des arbres et s'écoulant comme une eau divine. Une brise céleste. Cela a tout changé, élevant le monde autour de lui encore une octave au-dessus, à une plus haute vibration… Il a commencé à lancer des questions sans mots dans le vent, à l'intention de l'être divin qu'il sentait à l'œuvre.

À chaque fois qu'il posait silencieusement une question, la réponse venait instantanément dans une explosion de lumière, de couleur et de beauté qui le transperçait comme une vague qui se brise. Ces déflagrations ne faisaient pas simplement taire son questionnement en le submergeant, elles lui répondaient d'une façon qui court-circuite le langage. Les pensées pénétraient directement en lui. Il ne s'agissait pas non plus de pensées telles que nous les connaissons ici. Elles n'étaient pas vagues, immatérielles ou abstraites. Ces pensées étaient solides et immédiates – plus brûlantes que le feu et plus humides que l'eau – et alors qu'il les recevait, il était capable de comprendre instantanément et sans effort des concepts qu'il aurait mis des années à saisir pleinement au cours de sa vie terrestre.

La Grotte du Cœur

« Il y a en Dieu, dit-on, une obscurité profonde mais éblouissante…» 

Henry Vaughan

Il a continué à avancer et s'est retrouvé pénétrant dans un vide immense, totalement sombre, infiniment grand, mais aussi infiniment réconfortant. Bien que d'un noir total, il débordait de lumière : une lumière qui semblait venir d'une sphère brillante qu'il sentait maintenant près de lui. Une sphère qui était vivante et presque solide, comme l'étaient les chants des êtres angéliques.

Aussi étrange que cela semble, sa situation était assez proche de celle d'un fœtus dans un utérus. Dans ce cas, la « mère » était Dieu, le Créateur, la Source qui est responsable de la création de l'univers et de tout ce qu'il contient. Cet Être était si proche qu'il semblait n'y avoir aucune distance entre Dieu et lui. Et en même temps, il pouvait sentir l'immensité infinie du Créateur, il pouvait voir à quel point il était minuscule en comparaison. « Om » était le son qu'il se souvenait avoir entendu en association avec ce Dieu omniscient, omnipotent et aimant inconditionnellement.

L'immensité pure qui le séparait d'Om était la raison pour laquelle la sphère l'accompagnait. La sphère était une sorte d’« interprète » entre lui et cette extraordinaire Présence qui l'entourait. C'était comme s'il était né dans un monde plus grand, et l'Univers lui-même était comme un utérus cosmique géant, et la sphère le guidait à travers ce processus.

Ce gigantesque cœur d'encre noire, inondé de lumière, était la résidence du Divin lui-même.

Les questions et les réponses ont continué. Bien qu'elles ne prenaient toujours pas la forme du langage tel que nous le connaissons, la « voix » de cet Être était chaude et – aussi étrange que cela puisse sembler – personnelle. Elle comprenait les humains et elle possédait les qualités que nous possédons, mais dans une mesure infiniment plus grande. Elle le connaissait profondément et débordait des qualités qu'il a toute sa vie associées aux êtres humains et seulement eux : chaleur, compassion, pathos… et même ironie et humour.

À travers la sphère, Om lui a dit qu’il n'y a pas qu'un Univers mais beaucoup – en fait, plus qu'il ne pouvait concevoir –, mais que l'amour trône au centre de chacun.

Il a vu l'abondance des formes de vie à travers un nombre incalculable d'univers.Il a vu qu’il existait énormément de dimensions plus élevées, mais que la seule façon de connaître ces dimensions est d'y entrer et d'en faire directement l'expérience. Elles ne peuvent être connues, ni comprises, depuis les dimensions inférieures de l'espace… Le monde du temps et de l'espace dans lequel nous nous déplaçons au niveau terrestre est fermement et étroitement entrelacé avec les plans supérieurs. Ces mondes ne sont pas entièrement séparés de nous, car tous les mondes font partie de la même Réalité divine globale. Depuis ces mondes supérieurs, on peut accéder à n'importe quel moment, ou n'importe quel endroit, de notre monde matériel.

Puis ce fut le retour, dans le paysage vert, luxuriant, incroyable et merveilleux dans un premier temps, puis, non sans une grande tristesse, dans l'obscurité pulsante, froide et humide des débuts, et enfin dans les limitations de son corps physique restauré.

Ce retour douloureux et délicat fut soutenu par  les prières d'un nombre incalculable d'êtres qui lui apportèrent l'énergie nécessaire.

Cela lui a pris environ deux mois pour recouvrer toutes ses capacités intellectuelles et ses connaissances neurochirurgicales.

Nous vous invitons à lire l'intégralité de ce livre édité chez Guy Trédaniel en 2013.

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Si nous avons tenu à partager avec vous ce résumé de l'expérience du Dr Eben Alexander, c'est qu'elle répond à la question : « qu'est-ce que l'énergie numineuse VITA FONS II ? »

Il s'agit de l’énergie la plus puissante de toutes, celle qui soutient tous les univers.
C'est un Son numineux qui ne veut rien de plus ni de moins que la vie en totale harmonie pour tout ce qu’Om a créé.

Il s'agit d'un Son vivant, d'une brillante Mélodie Tournoyante et filante, comme la pièce de musique la plus riche, la plus complexe, la plus belle qu'on ait jamais entendue, irradiant de fins filaments d'une lumière blanche et dorée.

Un son, énorme et retentissant comme un chant glorieux… Un son palpable et presque matériel, comme une pluie fine que l'on peut sentir sur sa peau, mais qui ne mouille pas.

« Om » est la Source : le Dieu omniscient, omnipotent et aimant inconditionnellement, et le Son que le Dr Eben Alexander se souvient avoir entendu.

Il a également ressenti cette énergie comme une brise céleste, le souffle d'un vent chaud, comme celui qui se lève les plus beaux jours d'été, s'écoulant comme une eau divine.

Pour les anciens celtes ce Son est représenté par les Trois Rayons du Tribann /|\ et par le Triskell tournoyant et filant au cœur de la Création…


Depuis des milliers d’années cette énergie porte le nom de « Verbe ».

Alors que nous sommes aveugles et sourds, l'utilisation des produits Vita Fons II favorise la reliance à notre Noyau Divin et nous ouvre en douceur à l'action du Verbe divin qui soutient et nourrit toute Sa Création.

« En ce jour-là, les sourds entendront … ;
Et, délivrés de l'obscurité et des ténèbres,
Les yeux des aveugles verront. »

Ésaïe 29:18

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